Un Français sur six ; c’est le nombre de personnes aidantes en France aujourd’hui ; soit 11 millions de personnes et plus de la moitié l’ignore. Ces aidants accompagnent régulièrement un proche en situation de maladie, de handicap ou de dépendance du fait de l’âge.
Cette aide peut prendre différentes formes et évoluer au fil du temps et peut devenir un véritable défi quotidien. Celle-ci risque d’avoir un impact notamment sur la santé physique et psychologique de l’aidant lui-même.
Dans la vidéo suivante Rebecca Magne, psychologue et neuropsychologue de la plateforme d’accompagnement et de répit de l’établissement Barr Héol répond aux questions de la Mutualité Française Bretagne.
Afin de préserver leur santé pour poursuivre cette aide, les aidants ont besoin de temps de répit c’est-à-dire de disposer d’un temps rien que pour eux sachant leur proche en sécurité et accompagné par d’autres personnes de confiance. Ils pourront ainsi retrouver leur place de femme, d’homme, d’époux(se), de parent, d’enfant, d’ami(e)…, souffler moralement et physiquement… Par ailleurs, des aides organisationnelles (aide-ménagère, auxiliaire de vie…) et/ou médicales (aide-soignant, infirmier…) permettront de décharger l’aidant de certaines activités de la vie quotidienne
Pour clarifier cette nécessité de temps de répit, la psychologue et neuropsychologue Rebecca Magne répond aux questions de la Mutualité Française Bretagne dans la vidéo suivante